Du 8 au 11 décembre, formation sur les méthodes alternatives, le genre transformateur et sur les droits à la santé sexuelle des adolescents, aux 234 enseignants des lycées et collèges des préfectures de Tchaoudjo et de Tchamba,
La formation des enseignants s’inscrit dans la mise en œuvre du projet : « Renforcement de la société civile pour la lutte contre les violences de genre au Togo » par l’ONG Programme d’Appui à la Femme et à l’Enfance Déshérité (PAFED) avec l’appui de Plan International-Togo et financier de l’Agence Suédoise du Développement International (ASDI).
Les formations se sont déroulées aux lycées d’Agoulou, Sainte Marie de Sokodé et de Kadambara et aux Collèges d’Enseignement Général (CEG) de Wassarabou et Bariki de Sokodé pour le compte de la préfecture de Tchaoudjo.
Pour le compte de la préfecture de Tchamba, les enseignants ont été formés aux lycées de Tchamba et de Bago et au CEG Tchamba ville 2.
A travers cette formation, les organisateurs entendent renforcer les capacités des enseignants des collèges et lycées sur les méthodes alternatives, le genre transformateur et sur les droits sexuels des adolescents pour une éducation sensible, participative et non violente.
Au cours des travaux, les participants se sont appropriés les généralités sur les violences en milieu scolaire : cadre juridique et institutionnel, le genre de violences en milieu scolaire, les droits à la santé sexuelle et de reproduction, l’éducation et le fondement de la discipline positive, l’alternative aux méthodes violentes d’éducation et les outils de prévention et de mise en œuvre d’une éducation sans violence.
La directrice exécutive de l’ONG PAFED, Françoise Mayi Gnofam a indiqué que les enseignants ont un rôle prépondérant à jouer dans l’éradication des violences sur toutes ses formes pour favoriser un environnement protecteur pour tous les enfants sur leur lieu d’apprentissage.
C’est dans cette optique a-t-elle dit que la formation des enseignants a été organisée pour leur permettre de s’approprier les méthodes alternatives aux violences éducatives et les codes de disciplines positives.
Le représentant du directeur régional de l’Education, Boukare Labante a remercié Plan International Togo et l’ASDI de la Suède pour leur appui technique et financier dans la réalisation du projet.
Du 8 au 11 décembre, formation sur les méthodes alternatives, le genre transformateur et sur les droits à la santé sexuelle des adolescents, aux 234 enseignants des lycées et collèges des préfectures de Tchaoudjo et de Tchamba,
La formation des enseignants s’inscrit dans la mise en œuvre du projet : « Renforcement de la société civile pour la lutte contre les violences de genre au Togo » par l’ONG Programme d’Appui à la Femme et à l’Enfance Déshérité (PAFED) avec l’appui de Plan International-Togo et financier de l’Agence Suédoise du Développement International (ASDI).
Les formations se sont déroulées aux lycées d’Agoulou, Sainte Marie de Sokodé et de Kadambara et aux Collèges d’Enseignement Général (CEG) de Wassarabou et Bariki de Sokodé pour le compte de la préfecture de Tchaoudjo.
Pour le compte de la préfecture de Tchamba, les enseignants ont été formés aux lycées de Tchamba et de Bago et au CEG Tchamba ville 2.
A travers cette formation, les organisateurs entendent renforcer les capacités des enseignants des collèges et lycées sur les méthodes alternatives, le genre transformateur et sur les droits sexuels des adolescents pour une éducation sensible, participative et non violente.
Au cours des travaux, les participants se sont appropriés les généralités sur les violences en milieu scolaire : cadre juridique et institutionnel, le genre de violences en milieu scolaire, les droits à la santé sexuelle et de reproduction, l’éducation et le fondement de la discipline positive, l’alternative aux méthodes violentes d’éducation et les outils de prévention et de mise en œuvre d’une éducation sans violence.
La directrice exécutive de l’ONG PAFED, Françoise Mayi Gnofam a indiqué que les enseignants ont un rôle prépondérant à jouer dans l’éradication des violences sur toutes ses formes pour favoriser un environnement protecteur pour tous les enfants sur leur lieu d’apprentissage.
C’est dans cette optique a-t-elle dit que la formation des enseignants a été organisée pour leur permettre de s’approprier les méthodes alternatives aux violences éducatives et les codes de disciplines positives.
Le représentant du directeur régional de l’Education, Boukare Labante a remercié Plan International Togo et l’ASDI de la Suède pour leur appui technique et financier dans la réalisation du projet.