Les activités de la campagne en vue de l’élection présidentielle du 22 février 2020 se poursuivent partout ailleurs sur le territoire togolais. Les différents candidats réalisent tant bien que mal les programmes établis. Les seuls acteurs dont peuvent compter les candidats pour séduire l’électorat sont ces militants engagés qui mettent leur temps et leur personne au service de leur parti.
Dans cet exercice de persuasion et de séduction, un jeune militant UNIR se singularise par son approche basée sur l’éloquence et le franc parlé; Noé Trésor komi POSSIAN de son nom à l’état civil, peut s’identifier par les pseudos qu’il assume fièrement, « Enfant de loin » pour la plupart, « le mur » pour certains.
Qui est Enfant de loin?
Enfant de loin a grandit chez ses oncles au coeur de Sokodé, dans le quartier Didauré où il fit ses études jusqu’à l’obtention du Baccalauréat. Le contact avec la science Po à l’université de Kara va lui donner des envies réelles de s’intéresser à la politique de son pays.
Le peuple togolais entendra parler pour la première fois de Enfant de loin que dans les soulèvements amorcés en 2017 par les leaders de l’opposition. Son immaturité l’a conduit à s’afficher comme l’un des plus en vu des activistes autour de la lutte contre le pouvoir en place.
Mais, très rapidement, ce jeune politique de 26 ans a fait preuve de clairvoyance en faisant usage de sa force d’analyse dont on lui reconnait pour mettre la raison au dessus du militantisme à l’aveuglette. Il s’est refusé de se laisser engloutir par de beaux discours vidés de sens et sans véritables soubassement.
Le 24 février 2018, alors qu’il venait de participer à un forum de la jeunesse organisé par Tchaoudjo Diaspora et une structure de la société civile, il s’est laissé au média pour demander clairement pardon aux parents cadres de la préfecture de Tchaoudjo proches du parti UNIR que les jeunes auraient copieusement offensé par des messages sur les réseaux sociaux. Une sortie qui ne sera guère au goût de ses désormais ex camarades de lutte commune pour le départ de Faure Gnassingbé. Entre injures et menaces, Noé Possian Trésor a su resté fidèle à sa nouvelle conviction. Mieux, il va s’afficher clairement comme militant du grand parti Union pour la République UNIR.
Sa détermination et son dynamisme lui font gagner très facilement le coeur des dignitaires et des hauts cadres du parti UNIR. Il est présent partout où besoin se fait sentir pour contribuer par sa petite oeuvre aux activités du parti. Cette présidentielle est pour lui un défi qu’il relève de façon remarquable. Il est utile pour tous les cadres, toutes les activités du parti le concerne peu importe l’heure et le lieu.
Pour le passage du président du parti à Sokodé pour la campagne, il est allé jusqu’à mobiliser les jeunes de son quartier Didauré, pour accueillir et soutenir son candidat avec des messages fort sur les pancartes.
Dans son espérance de voir son champion gagner au premier tour avec un large score, il poursuit la campagne aux côtés des cadres militants UNIR de Tchaoudjo comme le Ministre de la communication Foli-Bazi Katari, le commissaire des impôts, Adoyi Essowavana, le DG ARMP, Aftar MOROU, l’honorable Salahaddine ISSA TOURÉ et beaucoup d’autres. Il va par intermittence dans d’autres villes du pays pour apporter son soutien à ses pairs jeunes militants.
La rédaction.