Sensibilisation sur l’exercice des libertés publiques en période électorale de 2020 aux acteurs à Sokode et à Djarikpanga c’était les 13 et 14 janvier par la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH).
La CNDH entend garantir le droit de vote et le libre exercice des libertés publiques en période électorale pour une élection présidentielle apaisée, non violente et respectueuse des droits de l’homme, au cours de cette rencontre de sensibilisation.
Mme Bessi Kama Lidi, a au nom de la présidente de la CNDH indiqué que la campagne de sensibilisation se situe dans le cadre de l’élection présidentielle.
A travers le thème : « exercice des libertés publiques en période électorale » a-t-elle dit, la CNDH entend apporter un éclairage sur la meilleure manière de concilier l’impératif de sécurité publique et le libre exercice des libertés fondamentales notamment la liberté de réunion et de manifestation en période électorale.
L’entretien avec les acteurs des préfectures de Tchaoudjo et de Mô, par le commissaire de la CNDH à porté sur les libertés publiques en période électorale, les dispositions spécifiques le jour du scrutin et les contestations électorales.
Elle à jouté que cette liberté est reconnue par la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et garantie par la constitution Togolaise.
Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience de religion, de culte, d’opinion et d’expression.
Mme Bessi a rappelé aux participants que l’exercice de ces droits et libertés se fait dans le respect des libertés d’autrui, de l’ordre public et des normes établies par la loi.
Elle a souligné que l’exercice des libertés d’association de réunion et de manifestation, également garanti par la constitution, doit se faire d’une manière pacifique et sans instruments de violence.
La règlementation de l’exercice de la liberté de réunion et de manifestations pacifiques, les dispositions du code électoral en matière des réunions et manifestations publiques pacifiques à compter de l’ouverture de la campagne jusqu’au jour de la clôture, le droit de vote, les dispositions spécifiques le jour du scrutin et les contestations électorales ont été également au centre des discussions.
Pour préserver la paix avant, pendant et après l’élection présidentielle, les préfets de Tchaoudjo et de Mô, colonel Mompion Matéindou et Anakpa Mani,ont invité les acteurs à s’approprier les contours des différentes communications .Ils n’ont pas manqué de remercier la CNDH pour cette initiative.
La Rédaction.